Des centaines de milliers de déplacés sont les |
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victimes d'une guerre qui n'en finit pas (Photo IRC) |
900 000 IDPs out of reach L'APR sur l'île Ijwi, etc ? Le chef d'état-major de l'Armée patriotique rwandaise nous a confirmé que, si après le retrait rwandais, des incursions violentes venant du Congo étaient constatées au Rwanda, les troupes de Kigali reviendraient. Et un autre officier a ajouté : « Et cette fois, nous irions jusqu'à Kinshasa... »
Le Général James Kabarebe |
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Le chef d'état-major des Forces Rwandaises de Défense |
"Partie" remise
"Une attaque et nous prenons Kin'" Le pillage du Congo Looting by individuals - Kagame Congo: perception problem - Kagame Retrait du Congo contre impunité??
Selon JMV Ndagijimana Pas de miracle au Congo...
Après l'APR le "déluge"
Le calme est revenu depuis hier après-midi à Kisangani, dans le nord de la République Démocratique du Congo. Des sources de l'agence MISNA confirment aujourd'hui que les gens ont recommencé à circuler dans les rues. Les heures précédentes avaient été marquées par la violence: hier matin en effet les forces de l'ordre et les militaires se sont heurtés à un groupe d'étudiants.
Les pilleurs du Congo Masunzu et Mayi- Mayi dans Uvira Commentaire du Soft de Kin' Silence, on meurt! Mayi-Mayi, RCD, FDD, etc. RPA still in Congo ? CONGO-DEM.REPUBLIC, 9 OCT 2002
KISANGANI: RETOUR AU CALME APRES DES HEURTS ENTRE MILITAIRES ET ETUDIANTS (Misna) Le calme est revenu depuis hier après-midi à Kisangani, dans le nord de la République Démocratique du Congo. Des sources de l'agence MISNA confirment aujourd'hui que les gens ont recommencé à circuler dans les rues. Les heures précédentes avaient été marquées par la violence: hier matin en effet les forces de l'ordre et les militaires se sont heurtés à un groupe d'étudiants. Selon la radio de la MONUC (la Mission de l'ONU en RDC), l'origine des désordres remonte à la nuit précédente. Un groupe de militaires du RCD-Goma s'était introduit dans la résidence du doyen de la faculté de Lettres de l'Université de Kisangani, dérobant des objets de valeur. Le professeur avait appelé à l'aide, attirant l'attention d'étudiants qui se trouvaient sur le campus voisin. Les jeunes étaient alors intervenus mais ils avaient été chassés par les tirs des militaires. Selon la même source, l'un des étudiants aurait été grièvement blessé à une jambe. Les événements ont fait le tour de la communauté étudiante, qui a réagi hier à l'aube en exprimant son indignation. C'est alors que la police est intervenue pour disperser les manifestants. La radio onusienne a fait savoir que dans leur colère, les étudiants s'en sont pris à un minibus de la MONUC qui transportait des observateurs des Nations Unies de nationalité uruguayenne. Vers 06 h 00 du matin, un groupe d'étudiants a bloqué la circulation sur la route conduisant à l'aéroport Simi Simi et au centre ville. C'est là que le véhicule de la MONUC a été arrêté. Ses passagers ont été obligés à descendre et le véhicule a été incendié. Les observateurs, rapporte la radio, auraient alors tiré en l'air pour éloigner un groupe d'étudiants qui aurait tenté de les agresser. La mission de l'ONU parle quant à elle de légitime défense. La tension en ville s'est accrue à tel point que le gouverneur de la province a lancé un appel aux étudiants pour les inviter à garder le calme. (CC)
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