On emprisonne, on libère,
On emprisonne, on libère,
On emprisonne, on libère,on emprisonne, on libère,
L'organisation de défense des journalistes, basée à Paris, avait estimé que la détention du journaliste "n'est qu'un moyen utilisé par les autorités rwandaises pour réduire au silence la presse indépendante d'opposition".
Umuseso : Mbonigaba libre
Prés. Ingabire M. Immaculée vs "UMUSESO" ngo yaba yishyuza Mushayidi
miliyoni 19 Frw
Déogratias Mushayidi |
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Igihe yari umukuru w'abanyamakuru anayobora inzu y'itangazamakuru |
Icyo uregwa abivugaho Médias du Génocide Burundi, Congo & Rwanda: No press freedom Le Professeur Murayi-Habimana
dénonce la "propagande raciste"
Surpercherie et duplicité?
"This is a group of discussion working toward the reconciliation and the development of Rwanda and the Great Lakes Region."... lokuta monene? Le propriétaire de Rwanda-l a choisi de ne pas user de son droit de réponse après s'être interrogé sur la politique rédactionnelle de RR et s'être vu proposer de réagir aux accusations de Maître Murayi.
RTLM: hate, drugs and alcohol Presse sous haute surveillance Rwanda: press freedom but no press Detained journalists saw police in bar fight Umuseso est dans le collimateur depuis janvier 2002 Témoignage du Directeur d'UMUSESO Journalist seeks asylum in Belgium
BRUSSELS, 21 August (IRIN) - A locally prominent Rwandan journalist, Yvonne Uwanyiligira, who fled her country has surfaced in the Belgium capital, Brussels, and is seeking asylum.
She told IRIN that she fled on 29 July after being accused of collaborating with an outlawed political party, the PDR-Ubuyanja, led by the jailed politician, Pasteur Bizimungu. Uwanyiligira said she was also accused of stealing money and equipment from the Centre for the Promotion of Free Speech and Tolerance in the Great Lakes (CPLTGL), of which she was the executive secretary.
"It's a common accusation made against people who flee the country," she said. "I didn't steal anything. I have already committed myself to my chairman to refund the CPLTGL's money, which I spent on transport for myself and my four children."
Uwanyiligira joined the CPLTLG after being dismissed in November 2001 from her post of director of the Media House in the Rwandan capital, Kigali. She was accused at the time of mismanagement and attending a workshop in Burkina Faso "without authorisation".
"The climate of fear is becoming widespread in Rwanda. Despite the new media bill, there is no freedom of the press," she said.
Presse persécutée et/ou vénale?
Un journaliste arrêté pour escroquerie et trafic d'influence Kigali, Rwanda (PANA) - Le journaliste rwandais Jean Gualbert Burasa est aux arrêts depuis le week-end dernier pour avoir été pris en flagrant délit d'extorsion de fonds à un fonctionnaire de l'Etat, a-t-on appris mercredi à Kigali de source officielle.
Selon un porte-parole de la police nationale, qui en a fait l'annonce, le journaliste exerçait son chantage sur un homme soupçonné de figurer sur la liste des membres clandestins du parti interdit de l'ex-président rwandais Pasteur Bizimungu, actuellement en prison.
Jean Gualbert Burasa, qui avait réussi à prendre connaissance de la liste de partisans de l'ancien président, avait contacté le dénommé Michel Mutabaruka et lui avait proposé de l'aider à faire effacer son nom de cette liste moyennant paiement de 100.000 francs rwandais (200 dollars).
Alertée à temps, la police a surpris le journaliste en train de percevoir la somme réclamée à M. Mutabaruka, lequel a confirmé les faits, que le journaliste nie fermement, arguant que le fonctionnaire lui devait cette somme en paiement d'un article qu'il venait de lui commander.
Le journaliste est actuellement détenu à la prison centrale de Kigali en attendant de comparaître prochainement devant le tribunal, a indiqué le porte-parole de la police rwandaise.
Kigali - 07/08/2002 (RR 08/08/02) Note de la rédaction: en 1996 déjà, une affaire similaire a été évoquée par rapport à cette même personne et sa publication occasionnelle Rwanda Rushya qui a mué en Rushyashya. Dans ce cas là (dont nous avons eu la connaissance personnellement) il s'agissait d'une affaire d'adultère entre une femme mariée et un riche commerçant du nom de Karangira. Il aurait été question de ne pas publier l'article en échange d'un montant à déterminer. Le chantage ayant été refusé par ses victimes, l'article est bel et bien sorti.
Jusqu'à ce moment là le magazine était imprimé dans l'atelier de l'Office Rwandais de l'Information (Orinfor). Jean Gualbert Burasa a travaillé comme régisseur à la radio de l'office en même temps qu'il publiait occasionnellement Rushyashya.
Certaines sources de l'entourage de Burasa ont avancé qu'il aurait été jusqu'à son arrestation informateur de la police. Ceci expliquerait qu'il ait pu disposer d'un soi-disant dossier d'une personne suspecte d'appartenir au parti interdit PDR-Ubuyanja de l'ancien chef de l'Etat Pasteur Bizimungu... et peut-être aussi que ses "collègues" aient pu le pièger facilement. Il a été paradé à la télévision rwandaise - qui fait aussi partie de l'Orinfor - dans la tenue rose des prisonniers rwandais, paraît-il, sur une demande venue de "haut".
Cette confusion entre les journalistes et les informateurs de la police ou d'autres organes de sécurité n'est pas propre au Rwanda mais la particularité dans ce pays est que la presse est déjà réduite à sa plus simple expression... et que si vous additionner les journalistes indépendants-informateurs aux journalistes pro-gouvernementaux, il ne reste pas grand monde.
Un cas très connu est celui de Jean-Pierre Mugabe, l'ancien patron du Tribun du Peuple, qui accuse le chef de l'Etat rwandais Paul Kagame d'avoir commandité l'assassinat de l'ancien président Juvénal Habyarimana en avril 1994. Dans ses témoignages, M. Mugabe se présente comme un officier du renseignement et que c'est en tant que tel qu'il serait au courant de l'affaire.
Le cas le plus extrème et le mieux connu de cette confusion des genres est bien sûr celui de Hassan Ngeze qui est accusé par le Tribunal Pénal International d'Arusha de participation au génocide par ses appels à la haine véhiculés par son journal mais aussi proférés dans la fameuse Radio Télévision Libre des Mille Collines (RTLM). Avant d'être un journaliste « engagé », il avait travaillé comme assistant de chauffeur de transport public et vendeur du journal Kanguka à Gisenyi. Ensuite en 1990, il sera encouragé par les milieux radicaux Hutu de l'armée rwandaise d'alors (Forces Armées Rwandaise-FAR) à lancer sa propre publication Kangura pour contrer son ancien employeur Vincent Rwabukwisi de Kanguka. Celui-ci était sponsorisé par des riches commerçants Tutsi (Valens Kajeguhakwa, Evariste Sisi et Assinapol Rwigara). A partir de 1989, Kanguka qui n'était initialement qu'un magazine de quartier pour la jeunesse avait commencé à relayer les doléances politiques des réfugiés rwandais. Rwabukwisi sera abattu au mois davril 94.
(19/08/02).
Les trois journalistes du journal UMUSESO arrêtés pour... coups et blessures à agents de police (!) ont été libérés après 3 semaines de détention gratuites.
Press(e) Ug. Journal. A. Bisiika Caught Sneaking Into
Rwanda (BBC, 13/08/02)
Rwanda: Police arrest Ugandan journalist for being in country illegally (August 14, 2002, Wednesday)
Asoumani Bisika, the former editor in chief of the Rwanda Herald newspaper was yesterday arrested by the police. He was repatriated to Uganda, his native country, in May 2001 for residing in Rwanda without proper documents.
Asoumani Bisika told journalists that he had returned to Rwanda to take his property and acknowledged his crime in returning to the country after having been deported.
According to the police spokesman, Supt Tony Kuramba, Bisika's case should be handled by the court. Mr Theodore Mutabazi, in charge of registration at the immigration department also told
Radio Rwanda that the case of a person deported from the country, and who returns illegally, should be handled by Rwandan courts.
Copyright 2002 British Broadcasting Corporation. BBC Monitoring Africa - Political Supplied by BBC Worldwide Monitoring. Radio Rwanda, Kigali, in French 0001 gmt 14 Aug 02. Text of report by Rwandan radio on 14 August
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